Coup de pouce pour : Inalia de Maud Cordier

Coucou les p’tits loups !!!

Au delà de faire découvrir des livres par le biais de mes chroniques, il est important pour moi de donner des coups de pouces aux auteurs que j’affectionne. C’est dans ce but que j’ai créé cette nouvelle rubrique.

Aujourd’hui je veux donner un coup de pouce à Maud Cordier. J’adore cette auteure tant par sa personne que par ses romans. C’est une auteure de talent qui mérite d’être connue et reconnue.

Sa dernière sortie livresque est Inalia, tome 1 : le prince des loups.

Le résumé :

121 ans après le Grand Changement, l’Histoire de l’humanité a quasiment disparu.

Le roi Richard de Lacour, monarque tyrannique, règne sur Inalia. Il est désormais temps pour lui de marier ses deux fils pour assurer le maintien de la couronne.

Chez la marquise de Morvan, Pénélope, jeune servante de dix-sept ans, est depuis peu assignée au service de Laurine, la plus jeune des trois héritières du Manoir.

Aux côtés de ses amies, Sylvia, Lucie et Christine, elle tente de survivre aux maltraitances et aux humiliations que leur infligent leurs maîtresses.

Lors de la visite des princes au Manoir, Pénélope fait par hasard la connaissance de l’un d’eux, le prince Stéphane. Leurs interrogations quant au mystérieux passé de l’humanité pourraient bien les rapprocher…

Si vous désirez la version papier, il est actuellement en précommande chez Mots en flots, un simple clique sur la couverture du livre vous emmènera sur la boutique.

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Si vous êtes plutôt pour le numérique, pas de problème, cliquez sur la couverture ci-dessus :

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Pour rappel, voici ma chronique :

Maud, avec sa douce plume, nous plonge dans un univers où le monde n’est plus ce qu’il est comme nous le connaissons aujourd’hui, la nature ayant repris ses droits à tout niveau. Nous ne sommes pas dans un environnement apocalyptique mais seulement une régression dans la condition humaine.

D’un côté nous avons les servantes Sylvia, Christine, Lucie et surtout Pénélope. Pénélope est une amoureuse de la nature qui cherche à comprendre ce que le monde était avant. Toutes les 4 sont de grandes amies qui se soutiennent en toutes circonstances.

De l’autre côté nous avons le Roi avec sa Reine, leur 2 fils et leur fille ainsi que la Marquise De Morvan avec ses 2 filles. De ce côté les personnes sont abjectes envers les servantes, imbu de leur personne, usant de leur pouvoir, toutes sauf 2 personnes.

Nos évoluons au côté de Pénélope qui va connaître déconvenue, moquerie, amitié inattendue et l’amour.

Ce roman m’a véritablement surprise car j’attendais à ce qu’il soit trop dans le fantastique pour moi, mais pas du tout. Il est savamment dosé entre fantastique et romance. Un délicieux mélange qui a mis mes sens en éveil.

De plus, le côté faune et flore de ce roman est très appréciable, on sent que Maud aime énormément les animaux et nous le retranscrit à travers ces mots.

J’ai adoré cette lecture pleine de rebondissement. Et que dire de la fin ? C’est juste grrrrrr. Vivement la suite !!!!!!!!!!!!

source : https://surmatabledenuit.wordpress.com/2015/09/18/le-prince-des-loups-de-maud-cordier-3/

Pour connaître un peu plus Maud Cordier, voici une petite présentation

Née à Chalon sur Saône en 1990, Maud réside toujours en Bourgogne.

Elle a écrit son premier roman « Quand le ciel descend sur la terre » à l’âge de 22 ans mais n’a envisagé sa publication que deux ans plus tard.

Passionnée depuis toujours par la lecture et l’écriture, elle souhaite percer dans cette voie, car écrire lui permet de s’évader et de partager les histoires qui hantent son imaginaire.

Sa page Facebook

Maud a même eu droit à son article de presse, voyez par vous même !!!

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Maud Cordier, un nom de plume et un visage auxquels il faudra s’habituer, tant la jeune femme possède le talent d’écrire et une belle verve littéraire. Photo E.M. (CLP)

 

« Le talent, c’est d’avoir envie de faire quelque chose », disait Jacques Brel. Dès lors, nul doute n’est possible, Maud Cordier, écrivaine de 25 ans, possède un talent rare.

Depuis la parution de son premier roman, Quand le ciel descend sur la terre, en juin 2014, la Vallimédarsienne a remis l’ouvrage sur le métier et avec quelle énergie. Boulimique d’écriture, non contente de donner une suite à ce premier opus avec À l’heure où les phalènes dansent dans le ciel, paru en novembre dernier, Maud annonce le tome III, Sous l’immensité du ciel, dernière levée de cette histoire d’amour concentré sur le déni, qui rejoindra ses petits frères dans les bacs de Chapitre.com d’ici quelques jours.

De rencontres en découvertes

Si, à la fin du premier tome, nous avions laissé l’héroïne (qui porte le prénom de sa créatrice) dans un état préoccupant, on retrouve la jeune femme dans de nouveaux bouleversements de vie. Dans un road-trip salvateur, sorte de parenthèse enchantée dans son univers, Maud va de rencontres en découvertes dans une forme de quête de soi. Elle va lutter, encore et toujours, pour surmonter les embûches de la vie et en sortir la tête haute.

Avec une émotion prégnante servie par une jolie écriture, cette trilogie est le point de départ d’une aventure littéraire qui n’est pas prête de s’achever. « Écrire m’apporte du contrôle, du rêve et du partage, révèle Maud Cordier. J’aime construire mes propres histoires, des textes avec du rebondissement et des personnages qui se cherchent, se révèlent ».

Une nouvelle saga en prévision

Parallèlement, Maud Cordier verra les deux premiers volumes de sa nouvelle saga, Inalia, sortir en version numérique aux éditions L’ivre-book (en mars pour Le prince des loups et juillet pour Les larmes de saphir). Dans cette dystopie, dépeignant une société du futur qui évolue dans les mœurs et les conditions de vie des royautés d’antan, nous suivrons le parcours d’une jeune servante au service d’une famille de la haute bourgeoisie. Entre mensonges et trahisons, amour et amitié, au fil d’un vrai suspense.

À noter que le tome 1 d’Inalia sortira en version papier en mai prochain, à la toute nouvelle maison d’édition chalonnaise Mots en Flots. Contact auteur : maud-71@live.fr

Source : http://www.lejsl.com/edition-de-chalon/2016/02/12/cinq-romans-a-25-ans

Voici de belles chroniques pour Inalia, le prince des loups :

Chronique de Le coin des lectures partagées :

Tout d’abord, je tiens à préciser que j’ai été très agréablement surprise par cette lecture.  Ce roman est un juste dosage entre romance, fantasy, historique et dystopie. On est happés dans cette histoire qui mélange avec brio des éléments passés, présents et futuristes.  Ce qui nous donne un livre d’un genre un peu nouveau, car on n’est ni totalement dans l’un ni totalement dans l’autre, c’est assez original comme univers, et d’ailleurs un peu déstabilisant au départ. Vu que l’auteure est partie sur mes genres préférés et en a fait un melting pot, je dois dire que ça m’a bien plu.

L’histoire commence au château des De Morvan, où Pénélope et ses amies sont servantes.  Un jour, une missive arrive et les jeunes demoiselles sont appelées au palais car les deux princes du Royaume sont en âge de se marier.  C’est ainsi que la famille De Morvan et leurs serviteurs vont s’installer au palais. Une histoire qui présente quelques similitudes avec Cendrillon.

Dans le Royaume d’Inalia, il n’y a plus que deux classes sociales: les nobles et les serviteurs. En effet, depuis le Grand Changement (un genre de cataclysme, mais on n’en sait pas plus dans ce tome), les hommes ayant tellement abusé et abîmé la nature, celle-ci a repris ses droits et l’humanité est redevenue moyen-âgeuse, ayant perdu toutes les technologies modernes, mais également tout accès à la connaissance historique – ou presque, car certains gardent ces trésors bien cachés. Mais ce nouveau monde est impitoyablement cruel et la noblesse n’hésite pas à humilier, voire martyriser leur personnel.  Heureusement, comme toujours, il y a des exceptions.

Je n’en dirai pas davantage à propos de l’histoire pour ne pas spoiler… juste que le final est évidemment tiraillant car on veut connaître la suite!

Les personnages sont tous très bien travaillés.  Ils ont tous leur caractère propre et on se met très vite à les aimer ou les détester, selon les cas.  Les descriptions sont vraiment bien présentées et on s’imagine vraiment au coeur de l’aventure.  La plume de l’auteure est agréable à lire, fluide et on sent qu’elle a pas mal de valeurs comme l’amitié, la loyauté, le respect, entre autres et notamment on s’aperçoit rapidement qu’elle aime la nature et les animaux et qu’elle a beaucoup de respect envers l’environnement.

En bref, ce roman mêle brillamment les genres tout en nous amenant immanquablement à une prise de conscience par rapport à notre comportement, que ce soit entre nous ou par rapport à la nature.

source : http://lecoindeslecturespartagees.eklablog.com/chronique-du-roman-inalia-de-maud-cordier-a125872320

Chronique de Chroniques livres :

Vous aimez détester certains personnages quand vous lisez ?

Si oui, alors pas de doute, vous devez absolument lire « Inalia ».

Autant j’ai aimé le personnage de Pénélope, autant pour d’autres, j’aurais bien voulu me retrouver en face d’eux et leur dire leurs quatre vérité lol, de vraies têtes à claques que l’on ne peut que détester ☺

Maud Cordier, fait monter la sauce doucement, mais une fois que tout est bien monté, accrochez-vous car cela décape !

Avec cette histoire, vous êtes dans deux époques en même temps, nous sommes dans le futur, mais avec un mélange de passé. Je m’explique, l’histoire se passe dans le futur, mais certaines coutumes, manières de vivre, façon de penser, tout nous fais penser aux temps anciens du Moyen-âge. J’ai adoré ce mélange qui est fait judicieusement, ce mélange des époques est pour le moins intéressant et nous donne un très bon décor.

Une autre chose intéressante, est que l’on ne peut que prendre conscience que chacun de nos faits et gestes a des conséquences sur la terre sur laquelle nous vivons. Qui sait ce que l’avenir nous réserve, ce qui est certain c’est que la planète se meurt et que si on y regarde de près, peut-être un jour en reviendrons-nous à cette époque ancienne car chaque chose deviendra inutile.

Si vous cherchez une super lecture, alors celle-ci vous conviendra parfaitement

source : http://chroniqueslivres.canalblog.com/archives/2016/05/05/33767046.html

Chronique de Les Chroniques de Céleste :

Une fois de plus, c’est la couverture du livre qui m’a tout de suite attirée quand je l’ai vu sur un de mes réseaux sociaux. Quand je dis que j’ai un problème avec les loups ^^

Je l’ai trouvée pleine de mystère, de promesses en somme très attirante. Quand les avis positifs ont commencé à éclore, je n’ai pas hésité une seconde et sans avoir lu le résumé, je me suis procuré le livre.

Comme j’ai bien fait, c’est un petit bijoux de lecture et pour tout dire un vrai coup de coeur (mon dernier remonte à trois mois).

Pénélope, notre héroïne, a conquis mon coeur de lectrice.

C’est une jeune fille, simple, futée qui pense et réfléchit par elle-même (ce qui n’est pas le cas de toutes les femmes de l’histoire). Elle est forte, pleine de bonté, d’altruisme et proche de la nature.

J’ai tout de suite accroché avec ce personnage d’une douceur malgré son statut de servante qui s’en prend plein la tête pour pas un rond.

J’aime le fait qu’elle s’interroge sur son passé et celui de l’humanité en général. Elle cherche à comprendre l’Histoire mais aussi le comportement des gens qui l’entourent.

Le prince Stéphane est lui aussi très attachant. Il est l’un des deux seuls personnages de son rang à ne pas se comporter comme un con (comme la société voudrait qu’il le fasse). Lui aussi fait preuve de beaucoup de douceur, il s’oppose avec ferveur contre des comportements qu’il ne comprend et n’approuve pas.

Vraiment « ce couple » d’héros me touche et me transporte.

Les personnages secondaires ont eu aussi une vraie « âme » et nous retrouvons les bons comme les méchants mais chacun est important à sa manière, apporte une petite touche à l’histoire et à son intrigue.

Une part de magie est présente aussi dans le livre mais je n’ose pas en parler plus car j’ai peur de vous gâcher toute la surprise mais moi cette petite touche, je l’a trouve juste parfaite et d’un certain côté elle me fait rêver.

J’ai vraiment hâte que le tome 2 sorte cet été. il faut absolument que je sache ce qui arrive à la suite de la dernière scène du livre et le pourquoi dans ce futur, on a l’impression de se retrouver dans notre passé avec un roi, des domestiques, des femmes potiches et l’absence de technologie.

source : http://leschroniquesdestia.e-monsite.com/pages/chroniques/inalia-le-prince-des-loups-maud-cordier.html

Voici les autres romans de Maud, n’hésitez pas à cliquer sur les images, serez re-dirigé vers la boutique de l’éditeur :

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Résumé :

Maud est une jeune femme de 20 ans qui cherche à fuir son passé. Suite à sa rupture avec Alex, elle est enfermée dans une spirale infernale où déni et tristesse se mêlent. Mais jusqu’où la tristesse justifie-t-elle le déni ? Doit-on pour autant fuir la réalité pour s’éviter de souffrir ? Peut-on être heureux quand les blessures du passé entaillent l’avenir ?

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Résumé :

« Je suis de plus en plus abasourdie. C’est comme s’ils avaient tous décidé de comploter pour m’épargner la vérité. Mais à quoi bon, pu-isque le passé refait toujours surface, c’est bien connu. Et puis c’était tellement facile de tout me cacher, j’étais dans un tel état de tristesse, c’est à peine si je me souviens de ce qu’il s’est passé juste après son accident. Comme si j’avais mar-ché dans un brouillard pendant des jours sans savoir où je venais d’arriver. J’avais juste repris contact avec la réalité, c’est tout. Ensuite j’ai tout quitté, parce qu’Alex n’était plus à mes côtés et que les rues de la ville me renvoyaient son ombre, les lieux où l’on avait été me mur-muraient des souvenirs… Il n’était plus là, pour-tant il était partout. Puis j’ai rencontré Julien, quelqu’un qui a su me protéger. Mon meilleur ami. Et presque un an après, la vérité me saute au visage, c’est dingue, j’ai l’impression qu’un « être supérieur » sans parler de Dieu mais plutôt d’un mauvais-ange-gardien, ne veut sur-tout pas me laisser avancer. »

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Résumé :

Le « loup » rôde et ne pense plus qu’à une seule chose : me plonger dans une peur constante. Les messages, son intrusion, ses « cadeaux », il veut que je comprenne qu’il est partout et que je suis prise au piège. Que c’est lui qui décide, quand, où, comment. Et je subis.

Traquée par son mystérieux agresseur, séparée de Damian par des milliers de kilomètres et de ses amis par autant de mensonges que de secrets, Maud parviendra-t-elle enfin à trouver la paix ?

Après le lecture du tome 1, un blogueur a fait une interview de Maud, je vous laisse la découvrir :

  • Quel est le déclic, l’événement qui vous a poussé à commencer à écrire votre premier roman ?

J’ai vécu une période difficile qui n’est d’ailleurs pas encore terminée. Je me rappelle que j’étais en train de repasser quand les premières pages sont apparues dans ma tête ^^.

  • « Quand le ciel descend sur la Terre » est un roman très poignant et très réaliste.  Quelle est l’inspiration de ce livre ? Y-a-t-il une part de vrai ? A quelle importance ?

Quand j’ai écrit « Quand le ciel descend sur la Terre », je n’ai pas cherché à m’inspirer de quoi que ce soit. Le roman m’est apparu comme ça, sans que je sache « pourquoi ». Je n’avais même pas prévu d’écrire un livre en fait. Mais avec du recul, je me rends compte qu’en effet, j’ai puisé mon inspiration dans mon vécu, au niveau des états d’âmes et des réflexions du personnage sur la vie, mais aussi dans la vie des autres. Pour ceux qui ne l’ont pas lu et qui souhaiteraient le lire ATTENTION SPOILER :

L’histoire de cette femme qui a perdu l’homme de sa vie  dans un accident de voiture alors qu’il devait la rejoindre à exister. Pas dans le contexte de l’histoire avec la plage et le déni, mais elle a vraiment existé. C’est ce qui est arrivé à un proche d’une de mes amies…

  • Êtes-vous surprise d’une telle appréciation de votre roman par de nombreux lecteurs ?

Je n’ai eu encore beaucoup de lecteurs, en auto-édition c’est très difficile, d’ailleurs je ne pensais pas que c’était si difficile. Mais en effet, la majorité des retours sont positifs et évidemment ça me touche énormément ! Imaginer des gens en train de lire ce que j’ai écrit, c’est juste incroyable !

Quand j’ai publié mon roman, j’ai commencé par le rejeter. C’est à dire qu’en dehors de quelques proches, je n’en parlais à personne. J’avais peur je crois. Mais au fond de moi, je crois que j’espère que l’écriture me sauvera. J’ai peur de l’avenir, je ne trouve pas ma voie. Peut-être que j’ai voulu me mesurer aux regards des autres pour savoir si j’empruntais le bon chemin. Je n’ai pas encore la réponse.

  • Quel a été le moment le plus dur moralement avec votre livre ? Son écriture ? Sa publication ? Les critiques ?

La correction est le moment le plus dur pour moi. À force de lire le livre, il me dégoûte et je finis par le détester, par me dire que tout est mauvais, imbuvable. C’est le travail le plus pénible, d’autant plus que c’est pas toujours évident de voir ses propres fautes !

  • Comment gériez-vous l’écriture de votre livre avec votre vie courante ? Y-a-t-il eu des tensions ?

Je fais au mieux, j’écris quand j’ai l’envie et le temps. J’essaie de ne pas trop me forcer.

  • Question d’une lectrice – Votre prochain livre sera publié chez l’Ivre-book. Cela ne vous donne-t-il  pas envie de leur demander de publier également « Quand le ciel descend sur la Terre » ?

Je ne sais pas, je n’y avais pas réfléchis avant aujourd’hui. Disons que « Sous l’immensité du ciel » (la suite) est pas mal attendu et que si je demande à ma maison de publier le premier volume, je devrai retarder la sortie du deux d’au moins six mois. Sans compter qu’ils n’accepteraient peut-être pas de l’éditer. À méditer…

  • A quel moment de la journée ou de la nuit préférez-vous écrire ?

Je n’ai pas de moments préférés, j’écris quand je sens que j’ai quelque chose à dire ou pour mes personnages. Mais je dirais fin de matinée et début de soirée.

  • Quelles sont les conditions parfaites pour écrire (musique, endroit …)?

J’adore écrire dans mon lit et avec de la musique. La musique m’inspire toujours de nombreuses scènes.

  • Avez-vous eu toujours l’envie d’écrire un roman ?

Quand j’étais petite, j’adorais « l’étalon noir ». J’adorais les chevaux en fait. Du coup j’avais écrit ma propre histoire quand j’étais en sixième. J’aimais beaucoup écrire des poèmes aussi pendant les cours. Et enfin, en cinquième, j’ai réécrit la fin de la saga « À la croisée des mondes » parce que je l’avais trouvé trop triste et qu’elle m’avait fait pleurer ^^. Alors on peut dire que oui. Aussi durant mes années collèges jusqu’au début du lycée, je tenais des journaux intimes. Paix à leur âme, ils ont fini au feu !

  • Vous avez de nombreux manuscrits en cours d’écriture et de genres différents. Mais quel est votre genre littéraire préféré ?

Je préfère le genre fantastique/ fantasy avec de la romance au milieu. C’est vraiment ce qui me plaît le plus !

  • Si vous deviez être un livre, lequel serait-ce ?

Si on parle du livre que je préfère je dirais les « Harry Potter », si on parle d’un livre qui me ressemble alors ça serait « La délicatesse » de David Foenkinos.

  • Quel est votre plus grand rêve en tant qu’auteure ?

Pouvoir vivre de l’écriture, sans forcément vendre des millions de livres. Juste avoir un smic grâce à mes romans, ça serait magnifique ! Comme ça je pourrais vivre de ma passion.

  • Comment voyez-vous votre vie dans 5, 10, 15, 20 ans ?

Alors dans 5 ans j’espère que un de mes romans marchera.

Dans dix ans j’espère avoir assez d’argent pour ouvrir un refuge pour les animaux tout en vivant de mon écriture.

Ensuite… Je ne sais pas.

Cependant si j’enlève le mot espérer, je ne vois pas grand chose. Alors je garde la foi…

  • Avez-vous un conseil à donner aux futurs auteurs lors de l’écriture de leur livre ?

Non malheureusement, je ne me sens pas « écrivain » donc je ne me permettrais pas de donner des conseils. De nos jours beaucoup de gens publient un livre et se sentent « écrivain ». Je ne partage pas ce point de vue. On peut être auteur, ce qui pour moi veut dire « le parent d’un (de plusieurs) livre(s) » mais être écrivain, de mon point de vue cela signifie être reconnu pour son travail et en vivre. Et je pense que ce sont ces personnes là qui peuvent donner des conseils.

Malgré tout, je peux juste dire une petite chose : Patienter. Patienter avant de vous ruer vers l’auto-édition et publier tout et n’importe quoi. J’ai fait cette erreur la première fois, j’étais persuadée que mon livre était vraiment abouti or ce n’était pas le cas ! Du coup l’auto-édition est mal vue car tout le monde publie tout ce qu’il veut. Alors à la place, je crois qu’il faut se diriger vers des petites maisons d’éditions qui prendront le temps de lire votre travail (et elles sont nombreuses !!).  Si vous ne recevez que des « non » c’est peut-être que votre livre n’est pas abouti. Relisez, faites lire à vos proches, corrigez, modifier et réessayez. Si c’est toujours non mais que votre livre est propre alors pourquoi pas l’auto-édition. Mais je pense vraiment qu’il faut prendre le temps d’avoir des bêta-lecteurs, des avis etc. Ça nous aide à y voir plus clair, car quand on est trop dans son histoire on ne s’aperçoit même plus des incohérences et des choses qui ne vont vraiment pas !

  • Pour terminer, pensez-vous à une autre question qui ne figure pas dans les précédentes et que vous aimeriez partager ?

Non, je ne vois rien de plus à ajouter ! À part un grand merci pour cette interview et aux gens qui la liront.

source : http://leslecturesdekevin.blogspot.fr/2015/09/zoom-sur-maud-cordier_7.html

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