L’interview de James Barbier

Coucou les p’tits loups,

C’est au tour de James Barbier de répondre à mes questions. Auteur que j’ai découvert avec son livre Le chef de rang désenchanté (ma chronique est par ici).

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Bonjour James Barbier, pour commencer, pourriez-vous vous présenter ?

Bonjour à toutes et à tous, je m’appelle James Barbier, j’ai 26 ans, très prochainement 27. Après plusieurs années à avoir travaillé dans le milieu de la restauration, je viens de publier aux éditions Vérone mon premier roman « Le chef de rang désenchanté ».
Est-ce que cela fait longtemps que vous écrivez ?
J’ai commencé lorsque j’étais au lycée où j’ai pris une énorme quantité de notes pour une saga de 9 tomes. Projet mis de côté depuis. S’en est suivi un autre projet de saga, resté lui aussi à l’état de notes. Car quelque chose ne fonctionnait pas… Peut-être étais-je trop jeune pour me lancer dans ces gros chantiers littéraires… Ensuite après moult changements, j’ai écris un thriller centré sur une vengeance, mais qui n’a malheureusement pas trouvé d’éditeur. Puis j’ai écris le roman « Le chef de rang désenchanté » qui lui a été publié.

Comment écrivez-vous ? Avec de la musique ? Sur une machine à écrire ?

Sur mon ordinateur avec une playlist quasiment anglophone. Et avec le strict minimum de bruit. Malheureusement, je ne peux pas contrôler ce que font les autres. Comprenez les voisins…

Comment l’idée de votre roman Le chef de rang désenchanté vous est venue ?

J’ai voulu montrer le parcours d’un salarié qui souffre des décisions d’une hiérarchie qui le laisse moisir au bas de l’échelle malgré ses compétences et ses envies d’évolution. Je crois que beaucoup de monde en France doit subir au quotidien le bon vouloir de son patron. Étant issu de l’hôtellerie-restauration, j’ai souhaité implanter l’histoire du livre dans ce milieu.

Pour ceux qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous nous décrire votre roman ?

En voici la quatrième de couverture : « Employé consciencieux, Jason Martel aspire depuis longtemps à évoluer professionnellement au sein de son entreprise. Mais malgré ses efforts constants, aucune opportunité à l’horizon. Tout est gelé, pour tout le monde. Jusqu’au jour où son chef de service finit par lui annoncer que des évolutions auront lieu… et qu’il n’en bénéficiera pas. Jason le prend mal. Très mal. C’est le début d’une longue descente aux enfers, faite de confrontations permanentes avec sa hiérarchie, d’affrontements incessants où la tension atteint son paroxysme. Désenchantement, désillusion, humiliation, déception… Jason va tout connaître. Et se faire miner par sa haine envers ses responsables. En sortira-t-il indemne ? »

Avez-vous un projet pour un prochain roman ? Si oui, pouvez-vous nous en parlez un peu ?

Oui, je travaille actuellement sur un projet de saga. J’ai prévu six tomes et j’écris en ce moment le tome 1. Et avec tout ce que j’ai prévu ça risque d’être un gros pavé. Mais pour l’instant les thèmes abordés sont tops secrets. Je suis un peu parano sur ces sujets là, j’ai toujours peur que l’on me vole mes idées.

Pour éditer votre livre, vous avez fait le choix d’aller dans une maison d’édition à compte d’auteur, pourquoi ce choix ? Pourquoi ne pas avoir choisi l’auto-édition ?

N’ayant pas reçu de réponse positive de la part d’un éditeur à compte d’éditeur « dit traditionnel », je me suis « rabattu » sur l’un des éditeurs à compte d’auteur qui m’avait proposé un contrat quelques mois plus tôt. J’ai donc signé aux éditions Vérone. Je n’ai pas choisi l’auto-édition car je ne voulais pas me retrouver tout seul pour mon livre. Je suis novice dans l’édition, je n’y connais rien, et je ne voulais pas me planter. Je me sentais plus en sécurité en signant avec une maison d’édition.

Après toutes ces questions, souhaitez-vous me poser à votre tour une ou plusieurs questions ?

Rien ne me vient à l’esprit pour l’instant, sorry.

Ce n’est pas grave, merci James pour le temps passer à répondre à mes questions !!!

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